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MEDIEVAL JEWELLERY IN EUROPE 1100-1500

Jewellery has always been of central importance to all human societies, but medieval jewellery is relatively less well-known. The jewellery worn in medieval Europe was important an indicator of the wearer’s social status and wealth, faith and superposition, allegiances and literacy. The theme of love, religion, and magic inspired the creation of much medieval jewellery. … Lire la suite

LES EMAUX AU MOYEN-AGE

Au Moyen Âge, l’émail est l’une des principales ressources du décor de l’orfèvrerie. C’est une poudre de verre colorée à l’aide d’oxydes métalliques (cobalt, cuivre, fer…) et le plus souvent opacifiée. Appliquée sur un support métallique (or, argent ou cuivre), elle se liquéfie à la cuisson et se solidarise au métal en refroidissant. Opaques ou … Lire la suite

PEINTURE SUR EMAIL

PEINTURE SUR EMAIL   La peinture sur émail est considérée comme une technique indépendante de l’émail, bien qu’elle y soit strictement liée. C’est en effet une branche de l’émail, mais elle partage aussi certains champs avec d’autres techniques, comme avec la peinture sur porcelaine. Bien qu’elle comprenne des aspectes fondamentaux de l’émaillage, comme la préparation … Lire la suite

LES EMAUX A BASE DE CHAUX OU LES EMAUX A BASE DE PLOMB ?

LES EMAUX A BASE DE CHAUX OU LES EMAUX A BASE DE PLOMB ? L ‘émail coloré est obtenue par la fusion d’un mélange de fondant ou verre avec un oxyde métallique tenu en suspension dans la masse vitreuse. Les émaux fabriqués actuellement dans l’industrie peuvent convenir à l’émaillage, mais il est indispensable de les échantillonner … Lire la suite

L’EMAILLAGE DES SURFACES CHAMPLEVEES

Leur nom indique clairement qu’il s’agit de surfaces qui ont été premièrement creusées, soit labourées au burin, cela soigneusement, et d’une profondeur partout égale, ou bien encore frappées soit estampillées mécaniquement, de façon à réserver des alvéoles autrement dit des champs destinés à être ensuite comblés d’émail, dont le niveau doit atteindre celui du métal … Lire la suite

DES EXPOSITIONS UNIVERSELLES AU JAPONISME : LA FIN DU XIXe SIECLE

Pour Théophile Gautier, l’orfèvre François-Désiré Froment-Meurice ( 1802-1855) « inspirait et conduisait tout un monde de sculpteurs, de dessinateurs, d’ornementistes, de graveurs, d’émailleurs et de joailliers. » Vers 1825, les ornementistes redécouvrent le Moyen-Age et la Renaissance et donnent naissance à des bijoux d’une très grande diversité. A travers la redécouverte des œuvres du passé les artisans … Lire la suite